Le bonsoir à tous (et toutes),
J’espère que la plupart d’entre vous se portent admirablement bien. De mon côté, la
chaleur réchauffe mes os et j’abandonne peu à peu mon grand manteau noir.
Je fais un bilan tout à fait mitigé de votre participation lors de mon dernier
article : certaines propositions ont pu m’intéresser, mais la plupart ne correspondaient pas à mes attentes ; pires, étaient décevantes et irréalisables (nous ne sommes pas dans un film
pour adultes dites donc). Mais, bonne nouvelle, j’ai tout de même trouvé – et essayé- une idée particulièrement réjouissante et intéressante : le magasin de chaussures. Il a s’agit pour moi
(dans 2 magasins strictement différents, tant au niveau du style que de la clientèle) de montrer inostensiblement - ou son contraire, cela dépend de vos mœurs- mes bas et ma petite
culotte. Pour ce faire, j’ai alors utilisé une robe un peu trop courte, des bas légèrement trop bas (ne sont-ils pas fait pour cela ?) et une manière décomplexée de me mouvoir, mon 38 aux
pieds. « Je crois que c’est un peu trop petit, auriez-vous la demi-taille ? ».
Le plaisir grandissait au fur et à mesure que la scène se déroulait. Je faisais
durer le plaisir. D’abord doucement, je me suis assise sur une banquette, mes bas étaient apparemment légèrement visibles et mon chéri se tenait en dehors du magasin, pour observer les réactions
environnantes. J’ai alors choisi une paire de talons excessivement hauts (tant qu’à essayer, faisons nous plaisir) et j’ai paradé dans la boutique bondée, la hauteur de mes nouveaux marchepieds
faisant se relever ma robe sur mes cuisses de 10 centimètres environ. De quoi gêner mon voisin d’à côté (qui essayait des derbys italiens) qui n’a pu s’empêcher de me regarder avec insistance
durant toute la manœuvre. C’était le but bien avoué. Dans le second magasin, j’ai essayé des baskets flashis et un jeune homme –qui ressemblait à un évadé de prison- n’a pu s’empêcher de mimer
mes gestes, tout en s’extasiant sur mes chaussures « très bien choisies ma demoiselle » et en reluquant mes longues jambes.
Je peux avouer que le fait que mes bas puissent être vus, tout autant que ma petite culotte, furent une expérience très excitante. Je donnais l’impression d’une fille effrontée, très libre, presque sans tabou, juvénile et naïve, alors que tous mes gestes étaient calculés. Je me sentais presque une autre, à regarder mes chevilles dans le miroir, un peu trop légère, presque touchante, feignant de ne pas sentir les regards désirants de certains (et surtout de ce fameux voisins de la banquette d’à côté).
Et pour le petit secret : je vais recommencer cela dans le courant de la semaine. Pas de rendez-vous donné, mais si vous avez l’opportunité d’acheter des chaussures, regardez donc si une jeune femme à la robe trop courte n’en essaie pas de son coté.
Bises et, pour vous, une toute nouvelle photo (notons que cette signature gache un peu, mais il faudra se plaindre aux voleurs)
Charlotte
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