Evocations, histoires et réflexions de Charlotte

Vendredi 18 avril 5 18 /04 /Avr 19:30

Sûrement l’un des moments les plus étrange de notre jeune vie de couple. C’était l’été dernier, en méditerranée. Lui et moi, couchés sur la plage grouillante, ou devrais je dire luisante de monde, nous suffoquions de chaleur. Nous étions un peu éloignés du bord de mer, pour ne pas être dérangé par le cri des enfants, et le sommeil nous guettait. J’avais enfilé un joli bikini blanc, celui que je réserve pour ma peau déjà bien bronzée, celui qui devient un peu transparent si l’on s’attarde un peu trop sur mes courbes. Lui avait son short de plage et s’amusait à me jeter du sable, tout en me caressant nonchalamment la cuisse. Une vrai scénette d’amoureux. Mais j’avais soif, horriblement soif et mon Evian était toute décrépie. Je fis la moue pour l’amadouer et monsieur ne mis pas longtemps à flancher. Il prit donc le porte monnaie et s’en alla vers les baraquements, à plusieurs centaines de mètres, pour nous chercher quelque chose de rafraîchissant. Il me dit qu’il en aurait sûrement pour une petite demi-heure, le temps de prendre quelque chose à lire.

J’étais donc toute à mon aise, lui fis un « au revoir » de la main et m’étendis sur le ventre. Je remontai mon bas de maillot entre mes fesses pour ne pas avoir une horrible et gigantesque marque et enleva mon haut, mes seins étant cachés. J’enfilai mes lunettes noires, celles qui servent à scruter sans être vue et me mis à regarder non sans mal ce qui se passait autour de moi. Et c’est là où je le vis. Un jeune homme de 25 ou 30 ans environ, à seulement quelques mètres de moi, assis sur sa serviette, avec un air étrange. Il me regardait. Il était assez beau mais un peu commun et son air hagard le rendait bien surprenant. Et il me regardait toujours. Je voyais bien qu’il remuait étrangement, tout en suivant mon regard. En fait, il voulait que je le regarde, que je l’observe, que j’étudie son corps.
Je fis mine de rien, et continuait de le scruter quand, à force de plisser les yeux,  je me rendis compte qu’il se touchait doucement le sexe par-dessus son slip de bain. Et me regardait. Et se touchait. Et me regardait. D’où il se trouvait, (il était en fait à ma droite à environ 4 mètres), il avait une vue imprenable sur ma chute de rein, mes fesses et mon dos nu. Moi, je continuais à feindre le sommeil pesant. Mais putain charlotte, ce mec est fou ou quoi ? Et toujours pas mon ami en vue. Soyons objectif : il y a des centaines de personnes, je ne pouvais pas me faire violer ou je ne sais quoi. Je commençais à me tortiller. Il comprit et s’arrêta, vira au pivoine et se retourna vers la mer. Quel étrange type, se caresser devant quoi ? Devant moi ? Il y a des limites, non ? C’est ce que mon esprit pensait, mais mon corps en disait autrement. Cet épisode m’avait, malgré moi, quelque peu émue. Et si j’avais envie qu’il continue ? Je me relevais, les seins nus, les tétons durs par la légère brise et surtout la peur qui m’entourait. Je gardais mes lunettes, m’assis moi aussi vers la mer, et comprit qu’il continuait à me regarder. Je fis alors mine de chercher quelqu’un derrière moi, ce qui n’était pas vraiment mentir non ? Je me tournicotait et il pu à loisir observer mes seins qui tombaient, qui batifolaient en totale liberté, des seins ronds et un peu lourds. Je le senti plus pressant, plus curieux, plus avide. Pourquoi était il comme ça, pourquoi me voulait il moi ? Je ne pensais qu’à une chose, continuer à l’émoustiller en faisant mine de rien. Je me recouchai donc, lisant un magazine, et remontait exagérément mon slip blanc. Mes fesses étaient presque toute à vue et il pouvait voir la naissance du creux des reins, la naissance de mes fesses. J’avais terriblement chaud. Nous étions loin, il était là. L’envie de faire le premier pas était trop tentante. Je me relevai et lui dis quelque chose comme « Pardonnez moi mais, j’ai la peau fragile, pourriez vous me passer de la crème ? Si cela ne vous ennuie pas bien sur ». Il était étonné. Interloqué même. Et il bandait comme un fou. D’ailleurs, on ne pouvait pas dire qu’il n’était pas agréable à regarder. Je pourrais même dire « très bien membré ».

Et puis il acquiesça, et se leva non sans mal, en se dirigeant vers ma serviette. Lascive, je me recouchais, et le laissais passer de la crème. Il était tendu, un peu stressé, mais s’habitua vite à ma peau. C’était étrange de ne pas avoir les mains de mon ami sur moi, mais c’était tellement excitant. Il hésitait pour le haut de mes fesses, mais je l’encourageai, en me tortillant comme un vers. Il touchait maintenant toutes les parties dénudées de mon postérieur, en effleurant doucement, en prenant son temps.

Il s’attardait maintenant sur mes cuisses, de manière très chirurgicale et je gémissais un peu. Il compris que j’étais ravie, ou que je le feignais. Je me relevais alors, en restant seins nu, et compris en le frôlant que le pauvre allait exploser. Je lui demandais s’il allait bien et je vis ses yeux qui se perdaient dans ma poitrine tendue, dont les extrémités étaient violacées de froid. La brise, toujours.
Je lui demandais alors de m’en passer sur les cuisses, tout en écartant un peu les jambes. Il était fébrile et cela n’en devenait que plus délicieux. Il passait doucement ses mains, j’aimais ça. Je me rallongeais alors, impassible, et d’un air endormi lui expliquait qu’un peu de crème sur ma poitrine m’éviterait le cancer précoce. Il s’exécuta alors, sans broncher, et passa ses mains sur mes omoplates, puis sur le haut de ma poitrine et hésitait pour aller plus loin.
Je le vit alors changer d’expression et il se releva précipitamment, couru presque jusqu’à sa serviette et ramassa tout. Je me retournait, et vis alors mon ami, tout étonné de ce visiteur étrange, mais bien décidé à connaître le fin mot de l’histoire.
Par Charlotte Delorme
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Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 22:52
Ce soir, c’est un peu l’ennui. Non pas que je n’ai rien à faire, loin de là, j’ai des tonnes de choses à faire, mais je ne sais pas, je traine. Sur dailymotion notamment. C’est fou le nombre de cochonneries que l’on peut y trouver. C’est d’ailleurs assez excitant. 
J’aimerai d’ailleurs vous parler d’un truc. Loin de moi de penser que « nous sommes tous bisexuels », j’ai souvent beaucoup d’attirance pour des jeunes filles faisant des vidéos comme moi sur dailymotion. Souvent des choses plus osées, plus coquines. Biensur, dans la rue, je ne suis pas attirée par des femmes ; je peux en trouver certaines jolies, mais comme on trouverait un sac joli (c’est typiquement féminin comme exemple, pardon). Mais lorsque j’en vois certaines, dans des postures bien particulières, lascives, dansantes, des filles aux jolies formes, je ne sais pas, cela m’attire, indubitablement (comme on dit). Après, j’en suis sure, je ne suis pas lesbienne. Mais quand même, il persiste une confusion un peu excitante, et je ne me lasse pas de regarder une « Keyra » ou une « Carmen ». C’est bête, oui, tu peux le dire. Je repars à mes vidéos. : )
 
Je vous embrasse.
 
Charlotte  


Par Charlotte Delorme
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