Evocations, histoires et réflexions de Charlotte

Samedi 21 novembre 6 21 /11 /Nov 23:49
Bonsoir à vous tous,
ce soir, je publie la suite de mon récit. J'espère que vous apprécierez ce moment et l'histoire dans son intégralité. J'attends impatiemment vos commentaires, vos remarques. Pour vous répondre, mon ami est certes jaloux, mais il prend sur lui. Et puis, mon coeur lui appartient et n'est ce pas cela le plus important?

Je joins une petite photo et vous laisse à votre lecture.

Sachez que je prépare un petit dossier / réflexion sur le plaisir au féminin : ma vision du porno pour la femme, voire des récits érotiques; sans pour autant vouloir jouer ma féministe, c'est un peu lassant de ne pas trouver ce que l'on cherche sur internet, alors que l'on sait exactement ce que l'on voudrait. Et je n'en suis pas au stade ou je pourrais regarder des porno gay masculin pour assouvir mes envies de porno (confère un sondage de je ne sais plus quoi, où un bon pourcentage de femmes avouaient regarder du porno gay masculin, n'aimant pas le porno "classique"; plûtot incroyable).

Donc, je prépare cela, probablement pour la semaine prochaine. Notez que je me suis encore amusée à me dénuder devant un livreur (de sushis et pas de pizzas, je suis une femme de standing, même au niveau de mes choix culinaires). J'avais un charmant petit ensemble très "poupée" rose, en dentelle. J'avais peur, mais je me suis prise en main et c'était plutot grisant.

Bref bref, bonne lecture, merci encore pour vos encouragements. Notons que je n'ai tout de même pas envie de finir dans la littérature pseudo érotique -gnan gnan- vive les éditions harlequin ! 

Bises 


La Suite :

Il remontait maintenant vers le haut de mes cuisses, effleurant leur plissure, et je n’ai pu m’empêcher de répondre à ses gestes par un gémissant sourd, tout en passant ma main dans ses cheveux.
Je le trouvais désirable, je ne savais pas ce que je faisais, j’avais parfois l’envie de lui crier d’arrêter, que j’avais quelqu’un dans mon cœur, mais ma voix se perdait dans mon désir, qui grandissait. Il m’invita à me lever et me retourna, me plaquant le visage contre le mur blanc.

Il prit mes cheveux, les mit à gauche et s’engouffra dans ma nuque pour l’embrasser, tout en commençant à descendre ma fermeture éclair. Je le sentais proche de moi comme jamais auparavant, je pouvais ressentir tout son corps vibrer contre le mien ; son anatomie m’apparut alors plus claire.

A mesure que ma robe descendait, ses mains suivaient et se faufilaient le long de mon dos dont la sensibilité était exacerbée. Il comprenait aisément qu’il me faisait de l’effet, tant mon corps tremblait et que mes halètements se faisaient plus présents. Au fond de moi, je voulais les retenir, mais je n’y pouvais rien.

 

Je découvrais maintenant qu’il avait non seulement une belle gueule, mais aussi qu’il savait se rendre indispensable. Ma robe était maintenant à mes pieds, se piégeant dans mes talons ; il continuait à embrasser mon dos et le creux de mes reins, pour finalement mordiller la dentelle rouge sur mes hanches.

J’avais juste envie de l’embrasser. Je sortis avec délicatesse de cette robe qui gênait mes chevilles, me retournait et l’embrassait violemment, enfonçant mes doigts dans ses cheveux puis griffant son dos. J’avais juste envie de découvrir son corps.

Je fis tomber sa veste, alors qu’il était en train de caresser ma poitrine maintenant bien découverte et j’ouvris un à un les boutons de sa chemise, concentrée, pour aller vite et plonger mon regard sur son torse. 

Enfin à demi nu, je le trouvais encore plus beau ; il était plutôt musclé, mais quelque chose de très naturel. Ses pectoraux étaient dessinés et son ventre attirait indéniablement ma bouche. Et alors que je voulais lui glisser à l’oreille que j’avais envie d’aller plus loin, il ne me laissa pas le temps de parler : il se colla contre moi, dégrafa mon soutien-gorge et libéra ma poitrine engoncée de mon balconnet.

Et alors que mes seins sont plutôt menus, leur délivrance lui fit comme un électrochoc ; je m’assis par terre, la nuque contre la banquette et il s’empressa de les prendre à pleines mains, de les presser, et finalement commença à mordiller mes tétons durcis par le froid et le désir.
Je voyais son dos onduler alors qu’il prenait en bouche tout mon sein droit, comme s’il eut voulu le manger ; il m’empêchait maintenant de le caresser en me tenant les poignets, assez durement, juste assez pour que je comprenne qu’il était le meneur du jeu. Mon cou devenait son terrain de jeu.

Il le parcourait sans cesse avec sa langue, allant jusqu’à la pointe de mes seins, m’infligeant un plaisir brut et malsain, quelque chose que je ne pouvais maitriser.
Il me demanda de me coucher à même le sol, lâcha mes poignets, et en même temps que le froid pénétrait ma chair par mon dos, il se mit à embrasser mon ventre et descendit jusqu’à la naissance de ce pauvre bout de tissu qui recouvrait encore mon corps.

Passant lentement sa main par-dessus, il me fixa avec un regard fripon et commença à me caresser au travers de mon string, d’abord doucement, en essayant de voir ma réaction ; comme j’ondulais, il comprit qu’il devait accélérer, en appuyant plus fort. Il savait complètement ce qui faisait de l’effet à une femme ou, du moins, il savait véritablement ce qui me faisait de l’effet.

 

J’avais l’impression, probablement erronée, qu’il devinait les gestes qui faisaient monter mon plaisir ; peut-être qu’il s’agissait des mêmes gestes pour toutes les femmes ? Ses doigts s’étaient alors subitement glissés dans mon string et s’afféraient sur mon clitoris.

J’avais perçu son étonnement face à mon sexe entièrement rasé et j’en ressentais un certain délice : finalement, je n’étais peut-être pas la jeune femme sage et rangée qu’il croyait connaitre. J’eu soudainement envie de l’embrasser, alors que l’un de ses doigts me pénétra.

Il commença à aller et venir, alors que ma langue léchait la sienne et que mes gémissements se perdaient dans son oreille. Il se mit à faire des gestes plus rapides et plus amples, et mit un deuxième doigt, alors que je lâchais malgré moi un petit cri. Je sentais que mon sexe devenait plus humide et il ne tarda pas à accélérer d’autant plus. Je hoquetais, je ne retenais plus rien et je griffais son dos, sans vraiment savoir ce que je faisais. Le plaisir m’envahissait et il le voyait ; il me murmura à l’oreille qu’il adorait mon corps, et qu’il aimait cette petite chatte si serrée.

 

Il ralentit le mouvement et je repris mes esprits. J’avais vraiment été gourmande : je voulais maintenant lui montrer que, moi aussi, je pouvais lui donner du plaisir. Je pris ses lèvres, les mordilla, et lui demanda de s’asseoir sur la banquette. Il s’exécuta rapidement, probablement parce qu’il avait comprit mon petit manège et écarta docilement ses jambes. A genoux devant lui, je pris son sexe à pleine main, et entrepris de lui lécher de bas en haut, en insistant sur son gland. Je tournais autour avec ma langue, j’essayais de lui arracher des soupirs saccadés, signe que je m’exécutais convenablement.

 

Tout d’un coup, je décidais de le prendre en bouche, entièrement, pour réveiller ses fantasmes et son ardeur. J’allais et venais, lentement, parfois en accélérant ; je surprenais parfois son regard sur mon corps, l’air un peu avide et surtout gourmand. Ma main droite empoignait le bas de son sexe, pour donner plus d’ampleur, et je crois qu’il adorait cela. Sa main glissait dans mes cheveux, caressait mon cou : il était visiblement très à son aise.

Pourtant, il me demanda de m’arrêter net. Je cru qu’il avait un problème, mais il me demanda de me taire et d’écouter. Je me retournais, encore un peu sonnée, mais la vérité me sauta à la figure : nous n’étions plus seul et la personne n’était pas bien loin.
Nous entendîmes même la voix du responsable du magasin qui passait un coup de téléphone depuis la caisse centrale. La cabine, dont le rideau était resté ouvert, était finalement à la merci oculaire de tout le monde. Je me dirigeai donc rapidement vers celle d’en face, où se trouvaient mes vêtements, pendant que mon cher amant sautait dans les siens.

Je m’habillais à la hâte, en prenant soin de jeter les quelques vêtements du magasin qu’il me restait dans le coin opportun, et sortais précipitamment de ma cabine. Recoiffée à la hâte, je sorti un peu avant lui du coin des cabines, pour faire mine que nous n’étions pas ensemble. Lorsque le responsable m’aperçu, il me posa la question tant redoutée :

« Mais que faites vous encore là, à une heure pareille ? »

J’eus la présence d’esprit de répondre rapidement :

« J’avais un problème de fournisseur pour les sweat-shirts femme en 34 - 36 Apparemment, ils me croyaient assez stupide pour croire qu’il n’y avait pas de réassort. Mais j’ai su leur montrer que nous risquions de nous adresser à quelqu’un d’autre et finalement, j’ai réussi à les avoir. 

-Ahem, bien, bien mademoiselle. Je vois que vous êtes très professionnelle. Vous étiez seule dans le magasin ?  

(J’hésitais)

-Euh, non, non, Edouard est aussi resté, pour une autre affaire. D’ailleurs, il fini de ranger les cabines en ce moment même.

-C’est parfait, parfait. Vous pouvez y aller.

-Merci.

 

Je courus presque jusqu’à l’arrière boutique, pris mes affaires, et fis profil bas jusqu’à la grille du magasin, à demi ouverte. Je surpris d’ailleurs au passage le responsable du magasin avec un œil particulier, que je ne connaissais pas, regardant mon visage et mes attributs comme jamais auparavant. J’espérais de tout mon être qu’il ne nous avait pas surpris.

 

Dans la rue, la nuit m’encouragea à hâter le pas. Et c’est par un sms qu’Edouard m’expliqua qu’il avait adoré ce moment, mais qu’il avait l’impression d’avoir fait une erreur ; il avait une petite amie, plutôt stricte et peu accommodante. Je ne répondis pas : je savais que ce moment ne pouvait être qu’unique, un pur plaisir sexuel sans lendemain ; je n’aurais jamais souhaité continuer à faire plus sentimentalement avec lui.

C’est ainsi que je pris conscience qu’une démission serait plus qu'opportune...

 
Par Charlotte Delorme
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Dimanche 15 novembre 7 15 /11 /Nov 22:02


Bonsoir à tous,

ce soir, je vous livre mon petit récit. Seulement la première partie, car c'est plutôt long. J'espère que cela fera travailler votre imagination; la partie 2 arrivera d'ici quelques jours. D'ici là, bonne lecture et n'hésitez pas à me faire part de vos impressions.

Des bises.


Je venais de me faire embaucher dans cette enseigne de prêt à porter. Rien de bien glorieux, j’avais simplement répondu à une affichette sobre, collée dans la vitrine et indiquant que le magasin manquait de personnel. Je ne m’attendais à rien d’exceptionnel : un turn-over important,  des collègues n’ayant pas inventé l’eau tiède et des managers tyranniques, de quoi me résoudre à accepter ce malheureux 20 heures par semaine, agrémenté de son smic horaire respectant tout juste la légalité.

Lors de l’entretien, j’avais commencé à comprendre que je risquais fort de m’ennuyer pour les 4 mois de CDD à venir, mais qu’importe, le besoin d’argent commençait vraiment à se faire sentir pour la pauvre étudiante miséreuse –sous-le-seuil-de-pauvreté- que je suis.
 

Pour mon premier jour, j’avais décidé de la jouer sobre, pour ne pas m’attirer les foudres de mes collègues et avait opté pour un jean slim et un tunisien noir ; on me confia bientôt la petite étiquette avec mon prénom et mon poste, ce qui, vous vous en doutez, ne servait à rien et à personne.
La journée avait commencé d’une manière somme toute assez banale et j’avais, pour une fois, fait un effort de ponctualité.

On me montra les pulls et les tee-shirts à plier, les robes à ranger et les clients à saluer. Je ne fis d’ailleurs rien d’autre jusqu’à 11heures environ, moment où mon manager m’indiqua qu’il était temps d’utiliser mes neurones d’universitaire pour quelque chose de plus difficile : l’étiquetage.

Je me dirigeais donc vers la réserve pour coller des étiquette pré-imprimées sur les vêtements encore inodores, quand j’entraperçu une personne que je n’avais encore jamais vue, alors qu’elle était surement la plus intéressante du magasin : un vendeur de sexe masculin. Il me sourit, me demanda cordialement si j’allais à l’épreuve de l’étiquetage, tout en m’interrogeant sur ma date d’arrivée.
 

« -Ce matin en fait. »

-Ah oui, c’est récent. Moi je suis là depuis 8 mois. Ca devait être provisoire, mais ce chèque à la fin de chaque mois m’oblige à rester. Tu es en CDD aussi ?


Et alors que j’hochais la tête en souriant, il me souhaita bon courage et reparti rapidement travailler, sentant les regards accusateurs d’un de nos chefs. Je l’observais, dans son jean et son polo, très simple, mettant en avant son corps bien formé et ses épaules musclées. Il était temps pour moi de travailler, sans pour autant oublier cette rencontre.
 

Les jours passaient et je me surprenais de plus en plus souvent à lui sourire ou à le regarder. D’abord, c’était le seul homme faisant parti du staff –si l’on ne compte pas le type de la sécurité qui avait très peu de conversation et le chef de boutique qui n’était là que pour lancer des directives vaseuses lors de réunions courtes hebdomadaires – et il dégageait quelque chose d’assez particulier, que l’on ne peut pas qualifier de beauté ou d’esthétisme, mais plutôt d’une certaine aura, un petit quelque chose de sexy, tant au travers de son regard que de ses petites fesses musclées.

J’avais finalement lu son prénom sur son étiquette (comme quoi) et l’on se saluait en arrivant le matin avec une bise très lente, ralentie, où j’avais le temps de l’observer de près et le sentir sans qu’il ne se doute de quoi que ce soit. Il venait parfois me faire une blague, un sarcasme au creux de l’oreille et j’avais l’impression qu’il appréciait ma compagnie.
 

J’en avais alors rapidement fait part à mon chéri, qui n’avait aucune objection à ce que je flirte un peu avec mon collègue. Il disait ne ressentir aucune jalousie et m’incitait même à aller plus loin dans ce jeu qu’il trouvait plutôt excitant tant pour moi que pour lui. Je l’ai alors pris au mot… avec délectation.

 

Les semaines passaient et j’avais toujours autant de plaisir à me rendre au travail, malgré les devoirs pour la fac et le mauvais temps qui persistait. Il était toujours bien habillé, le sourire aux lèvres et m’apostrophait souvent pour tout et pour rien. Et à force de sourires mutuels et d’humour pince-sans-rire commun, il m’invita à prendre un café après le travail (les vieilles ficelles marchent toujours aussi bien).

J’acceptai sans penser à mal mais n’arrivant tout de même pas à mettre de côté l’image de son dos musclé que je devinai tous les jours sous ses tee-shirts. Un soir donc, où nous étions tous les deux de fermeture,  je me pressais de rassembler mes affaires pour ce rendez-vous, tout en finissant de recompter la caisse.

Lui semblait moins impatient  ;  je doutais finalement de ses intentions : moi qui étais sure de lui faire de l’effet, avais-je été trompée par son sourire de beau brun ? Il ne me laissa pas la possibilité de réfléchir longtemps :

-Ca te dirait de faire un petit jeu stupide avec moi, avant de sortir ?

-Pourquoi pas oui, lançais-je, malicieuse.

Et il se mit à chercher des tenues dans les rayons, tant pour lui que pour moi, avec comme seule idée en tête de nous rendre un peu plus stupide que nous ne l’étions déjà. Il revint donc avec, dans le désordre : une robe noire décolletée, des escarpins bien trop haut, une paire de bas et pour lui, un costume noir, une chemise blanche et une cravate en soie, ainsi que des chaussures italiennes (« pour un prix riquiqui », comme dirait la publicité).

-Nous serons parfaitement habillés pour aller prendre ce café non ?

J’étais plutôt éberluée mais je décidais de me laisser prendre au jeu. Il me dit de le suivre, et nous allâmes dans les cabines mixtes du magasin ; il posa mes vêtements dans une cabine et s’installa dans celle d’en face, tout en m’invitant à m’habiller.
Je ne comprenais pas ce qu’il souhaitait faire mais je me laissais bercer, parce que ce jeu m’amusait, parce qu’il était beau et attendrissant et que j’avais finalement bien envie de lui montrer que je pouvais être très sexy avec des talons et une robe.

Il avait eu la délicatesse de ne pas se tromper de taille, autant pour la robe que pour les chaussures et je supposais donc qu’il m’avait un peu espionnée, ce qui le grisait. J’enfilais les bas, mi gênée, mi impatiente, et j’entendais qu’il avait déjà terminé ; pire, je sentais qu’il m’observait. J’ouvris alors le rideau : il m’attendait, le bras appuyé contre l’entrée de sa cabine ouverte, l’air très dandy, un peu hautain, mais toujours ce petit sourire aux lèvres.

« Bonsoir Mademoiselle. Vous avez rendez-vous avec un beau brun ce soir. »
 

Je n’ai pas pu m’empêcher d’éclater de rire en le traitant de fou. Son regard était plein d’envie. Un regard un peu différent de ce qu’il m’offrait d’habitude.
J’étais un peu gênée, mais, doucement, je sortis un peu plus de la pénombre crée par le rideau de ma cabine et me laissait découvrir petit à petit, en lui montrant mon déhanché explosif sur ces talons trop haut, cambrant mon buste, sortant ma poitrine qui ne demandait qu’à s’échapper de cette robe pigeonnante.

« Viens, on va se regarder dans la grande glace, lui dis-je » et je lui pris sa main chaude, pour l’amener docilement devant le miroir des cabines d’essayages.


Mais lorsque je lui pris sa main, il me retint un peu le bras, et m’entraina vers lui, comme s’il voulait se presser contre moi. Avec mes talons, mon visage se trouvait maintenant au niveau du sien, même un peu plus haut ;  je voyais ses yeux qui dévisageaient mon corps d’une façon sexuelle, et sa bouche se rapprochant de mon oreille, il me susurra quelque chose comme « tu ne préfèrerais pas que l’on reste ici ? » tout en excitant tout mes sens.
 

Je ne savais pas comment réagir et il ne m’en laissa pas vraiment le temps : il me tira un peu plus vers lui, m’emmenant à l’intérieur de sa cabine et me poussa doucement mais surement vers le mur.

Il me tenait maintenant par la taille, et je me sentais si nue, alors qu’il n’avait pas encore osé me toucher vraiment. Et alors que je suis quelqu’un de très pragmatique, je n’ai pas pensé une seule fois aux conséquences de mes actes.
Je l’ai simplement regardé dans les yeux, comprenant ce qu’il me voulait. Il commençait maintenant à parcourir ma poitrine de ses mains graciles et je plongeais mon visage dans son cou et mes doigts dans ses cheveux bruns.

Il me poussa à m’asseoir sur la banquette, embrassant le haut de mes seins, et commença à enlever les bretelles de ma robe, qui ne demandaient qu’à tomber.  Ma tête reposait contre le mur, et je l’observais, avec délectation, parcourir mes jambes, remontant jusqu’à la naissance de mes bas, caressant le tissu et ma peau dressée par en dessous...



 

La suite bientôt... 
Par Charlotte Delorme - Communauté : La beauté sexy
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Mercredi 4 novembre 3 04 /11 /Nov 20:25

Bonsoir à tous,

J’espère que tout va bien chez vous et que vous pensez bien à moi. Je suis en pleine écriture d’une (més)aventure qui m’est arrivée il y a de cela plusieurs mois maintenant. Je n’avais pas souhaité la raconter lorsque cela est arrivé, d’un commun accord avec mon chéri, car je préfère garder certains secrets (je ne raconte pas grand-chose, finalement). Mais après une longue réflexion, et en ayant pris le temps de rédiger cela correctement, je compte très prochainement vous présenter ce récit (d’ici une toute petite semaine environ, tenez vous prêt). Il y aura une longue lecture (en cette période de Prix Renaudot ou autre Prix Goncourt, c’est tout à fait d’actualité) et même une illustration : de quoi ravir le plus grand nombre.

Messieurs mesdames donc, j’espère que vous serez heureux.

Pour ma part, je dois maintenant vous parler un petit peu de mon expérience avec mon fameux achat, des boules de geisha « Smartballs », roses et violettes, nervurées, et très douces. Rien à voir avec les boules de pierre –souvent en jade- utilisées par les Geishas pour maintenir leur vagin musclé et lubrifié en attendant le retour de leur guerrier.


Test Time


Au départ pour moi, pas mal d’appréhension, notamment au niveau de leur insertion : étant une jeune fille en fleur, peu utilisatrice de godemichets taille XXL ou de bouteilles Evian (pour les plus courageuses d’entre nous), je pensais qu’il serait impossible pour moi de les faire rentrer sans un peu d’aide. Leur taille (3,5cm de diamètre environ) me semblait insurmontable et je ne peux vous cacher que j’ai finalement laissé monter non pas une excitation mais plutôt une véritable appréhension.
J’ai donc demandé de l’aide à mon ami, pour essayer de me mettre à l’aise (tout le monde aura compris de quoi je veux parler) ce qui a plutôt fonctionné pour les Boules de Geisha mais m’a aussi mise en rogne (« Mais pourquoi s’arrêter là !? »).

L’insertion est donc plutôt facile même si peu agréable, car, lorsque la première boule est placée, il faut encore pousser pour mettre l’autre, dans un grand soupir « cela ne s’arrètera donc pas ? ». (Notons tout de même que les autres fois, je veux dire, mis à part la première, je n'ai plus eu besoin de mon ami. Ma difficulté venait donc d'une appréhension qui s'est traduite, héhé, sur le physique). L’engin mis, il faut encore l’ajuster correctement, c'est-à-dire assez loin, pour ne pas être gênée lors de la marche. A la fin, seule une ficelle dépasse.
La première impression est plutôt comique : je ne faisais que rire après les avoir mises, l’objet me chatouillant avec le phénomène de boules concentriques situées à l’intérieur de chaque balle. En m’habituant, le chatouillement continuait mais plus supportable, avec un léger bruit venant de l’intérieur, assez étrange. J’en ai alors profité pour faire une balade un peu longue avec mon ami, pour tester l’effet sur une plus longue durée.

Là encore, une sensation de « grondement » venant de l’intérieur, quelques chatouillis et finalement, l’obligation de serrer les fesses pour ne pas qu’elles tombent. Il faudra probablement que je les porte 2 à 3 fois par semaine, en essayant de les faire tenir le plus possible, notamment en faisant du sport à la maison par exemple (et non lors d’un jogging, elles pourraient s’échapper et rouler sur le bitume).

J’ai du mal à croire que certaines femmes puissent réellement ressentir du plaisir en les portant. Pour ma part, j’a juste remarqué une lubrification assez important après chaque utilisation, et une sensation de roulement plutôt rigolote, comme lorsque l’on a envie de faire pipi (pour vous mesdames, vous voyez tout à fait la sensation que je décris) . Je vous dirais si je perçois des changements au niveau de ma musculature vaginale, car c’est bien là l’effet numéro un. Mais il faudra que je m’astreigne à les porter plus régulièrement.

 

 


Une petite photo pour la route.

 

N’oubliez pas que l’on se retrouve bientôt pour mon récit.

 

Des bises.

P.S : Bon, je suis vraiment gentille comme fille. Voilà une seconde photo, rien que pour vous.


 

Par Charlotte Delorme
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Dimanche 28 juin 7 28 /06 /Juin 00:54
En cette soirée guillerette, je vous offre quelques nouvelles de votre Charlotte.

Tant de prédictions sur mon compte : quelqu'un s'est-il demandé si j'avais une vie de mon côté? Je ne suis malheureusement pas secrétaire en administration ou prof de fitness en club (tout le monde aura compris qu'il s'agit là d'une bienveillante ironie, et je dis bienveillante car je n'ai rien contre ces métiers; nous dirons juste que j'aspire à d'autres ambitions). Ainsi, je me rends compte que peu d'entre vous ce sont interessé à ce qu'il pouvait m'arriver de mon côté : un long et douloureux carnet de doléance s'est amoncelé dans les commentaires et c'est assez déplaisant. "A quand la vidéo de l'été?". Et la vidéo du 14 juillet et du 15 août aussi mon brave? Je ne suis pas une boîte de production à moi toute seule. Je sais que c'est une manière de montrer que je vous interesse mais tout de même, un peu de finesse.

Soit.

Encore une fois, ce blog ne s'arrètera pas, j'ai juste ma vie à mener et ce blog, même s'il en fait grandement parti, n'en est pas le centre de l'attention. Je viens rarement et aurais pourtant des dizaines de petites histoires à vous conter; malheureusement, ensuite j'oublie et n'ai plus envie d'écrire. J'ai du mal à tout mener de front tout ce que je devrais faire, voire à faire plusieurs choses en même temps. Mon esprit doit se concentrer sur une seule et même chose pour arriver à un résultat satisfaisant. Je pourrais aussi vous bombarder de photos avec un vieux texte sans fraicheur, mais non. Je ferrais mieux que cela.

J'ai acheté Union avec mon ami : ne crachons pas sur la presse spécialisée n'est ce pas? J'étais très contente d'y retrouver mon petit corps et ce gentil texte à côté. J'espère que vous avez vous aussi eut l'occasion de voir cela.


Je vais très bien : l'année est bel et bien terminée pour moi, même si elle fut très riche et très enthousiasmante, je change maintenant d'univers. Je n'en dirais pas plus, mon anonymat devant rester intact, mais sachez que je m'épanouis dans mes études.
Parfois, j'aimerais que l'on parle de moi, me voir en "Fan page" sur facebook. Mais là, ma peur rationnelle (et mon petit ami) me freine : ne souhaitant pas évoluer dans le porno ou la photo de charme, il vaudra peut-être mieux que je reste discrète. C'est un éternel travail d'équilibriste entre mes envies de reconnaissances toujours plus fortes et violentes et mon sens de la protection. Si jamais j'allais trop loin, je ne pourrais jamais revenir en arrière. Je resterais donc dans mon petit personnage anonyme. Croyez vous encore que je vis réellement à Nancy ?

En passant, je suis rentrée avec mon ami pour la première fois dans un sex-shop. Génant à l'entrée, mais finalement, les deux autres clients présents (deux hommes d'un âge certains) furent mille fois plus génés que nous. Une balade champêtre au milieu des vibromasseurs, poupées gonflables et maxi pénis (38 cm pour 8 cm de diamètre, une horreur. Surement pour des femmes ayant déjà eu trois ou quatre enfants). J'ai beaucoup apprécié, ayant un sens de la curiosité très aiguisé, mais les prix ne sont pas du tout interessant par rapport à notre confrère internet. Et aussi quelques surprises : un jouet anal "pénis de chien", avec un dalmatien en photo, absolument répugnant. Sinon, un voyage très amusant.

Je vous souhaite donc une bonne nuit, une bonne journée qui va suivre et une belle vie par la même occasion.
Je reviendrais bien vite.
Au plaisir de vous lire.



Charlotte Delorme
Par Charlotte Delorme
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Lundi 6 avril 1 06 /04 /Avr 23:09

Le bonsoir à tous (et toutes),

J’espère que la plupart d’entre vous se portent admirablement bien. De mon côté, la chaleur réchauffe mes os et j’abandonne peu à peu mon grand manteau noir.


Je fais un bilan tout à fait mitigé de votre participation lors de mon dernier article : certaines propositions ont pu m’intéresser, mais la plupart ne correspondaient pas à mes attentes ; pires, étaient décevantes et irréalisables (nous ne sommes pas dans un film pour adultes dites donc). Mais, bonne nouvelle, j’ai tout de même trouvé – et essayé- une idée particulièrement réjouissante et intéressante : le magasin de chaussures. Il a s’agit pour moi (dans 2 magasins strictement différents, tant au niveau du style que de la clientèle) de montrer  inostensiblement  - ou son contraire, cela dépend de vos mœurs- mes bas et ma petite culotte. Pour ce faire, j’ai alors utilisé une robe un peu trop courte, des bas légèrement trop bas (ne sont-ils pas fait pour cela ?) et une manière décomplexée de me mouvoir, mon 38 aux pieds. « Je crois que c’est un peu trop petit, auriez-vous la demi-taille ? ».


Le plaisir grandissait au fur et à mesure que la scène se déroulait. Je faisais durer le plaisir. D’abord doucement, je me suis assise sur une banquette, mes bas étaient apparemment légèrement visibles et mon chéri se tenait en dehors du magasin, pour observer les réactions environnantes. J’ai alors choisi une paire de talons excessivement hauts (tant qu’à essayer, faisons nous plaisir) et j’ai paradé dans la boutique bondée, la hauteur de mes nouveaux marchepieds faisant se relever ma robe sur mes cuisses de 10 centimètres environ. De quoi gêner mon voisin d’à côté (qui essayait des derbys italiens) qui n’a pu s’empêcher de me regarder avec insistance durant toute la manœuvre. C’était le but bien avoué. Dans le second magasin, j’ai essayé des baskets flashis et un jeune homme –qui ressemblait à un évadé de prison- n’a pu s’empêcher de mimer mes gestes, tout en s’extasiant sur mes chaussures « très bien choisies ma demoiselle » et en reluquant mes longues jambes.


Je peux avouer que le fait que mes bas puissent être vus, tout autant que ma petite culotte, furent une expérience très excitante.  Je donnais l’impression d’une fille effrontée, très libre, presque sans tabou, juvénile et naïve, alors que tous mes gestes étaient calculés. Je me sentais presque une autre, à regarder mes chevilles dans le miroir, un peu trop légère, presque touchante, feignant de ne pas sentir les regards désirants de certains (et surtout de ce fameux voisins de la banquette d’à côté).

Et pour le petit secret : je vais recommencer cela dans le courant de la semaine. Pas de rendez-vous donné, mais si vous avez l’opportunité d’acheter des chaussures, regardez donc si une jeune femme à la robe trop courte n’en essaie pas de son coté.

 

Bises et, pour vous, une toute nouvelle photo (notons que cette signature gache un peu, mais il faudra se plaindre aux voleurs)


Charlotte

Par Charlotte Delorme
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